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Des spécialistes en tibétologie ont ridiculisé les rhétoriques politiques du dalai lama en qualifiant ses propos "d'absurdes".
Pour Zhou Yuan, chercheur au Centre de tibétologie à Beijing (Tibetology Research Center), "même le dalai lama ne peut dénier les progrès historiques accomplis par la région autonome du Tibet pendant les cinq dernières décennies depuis sa réforme démocratique".
"Mais le Dala? Lama s'obstine à fermer les yeux au fait que les progrès ont été obtenus sous la direction du Parti communiste chinois et en les justifiant avec ambigu?té comme résultant du processus de modernisation", a ajouté Zhou Yuan.
A propos du Congrès de la Jeunesse tibétaine, qui est largement considéré comme une organisation terroriste par de nombreux pays, le dalai lama a insisté sur la nature non terroriste de cette organisation, a indiqué Amtseten, un savant tibétain du Centre de tibétologie.
Pour lui, "le dalai lama dit ces mensonges pour amadouer les différentes fractions au sein de sa clique".
Après les émeutes du 14 mars à Lhasa, des médias chinois ont publié de nombreux articles dénon?ant les aspects obscurs de la servitude et la théocratie qui sévissaient autrefois dans cette région et ont réfuté les informations pleines de préjugés de certains médias étrangers.
Ses mensonges ayant été démasqués, le dalai lama a commencé à dire n'importe quoi sous l'angle culturel, en affirmant que le gouvernement avait systématiquement éradiqué la culture tibétaine, a ajouté Zhou Yuan.
Lian Xiangmin, un autre spécialiste du centre de tibétologie, a souligné que le dala? lama ne se reconnaissait pas comme Chinois dans la mauvaise intention de susciter un affrontement psychologique entre les Tibétains, l'ethnie Han et les autres ethnies minoritaires en Chine.
"Le dalai lama ne peut pas parler du problème de l'autonomie tant qu'il ne se considère pas comme un membre de la nation chinoise. Si lui et ses partisans ne sont pas Chinois, fait-il sens de parler d'une autonomie sous le gouvernement central?", s'est interrogé M. Lian. |
